avez vous deja vecu une experience paranormale ?

mardi 22 décembre 2009


Le spiritisme est une science occulte qui tente de communiquer avec les esprits des personnes disparues, célèbres ou inconnues, par l'intermédiaire ou non d'un médium.

Pour communiquer avec les Esprits, il faut la présence d'un médium(ce n'est pas obligatoire mais recommander), qui n'est pas toujours conscient de son rôle d'ailleurs, servant de trait d'union. Il aurait la capacité de dissocier de son vivant les trois éléments constitutifs de la personne. L'âme et le périsprit « coulisseraient » hors du corps physique, le laissant libre, par exemple dans l'état de demi-sommeil provoqué par l'hypnose, pour accueillir un Esprit qui parlerait alors par la bouche du médium endormi. L'âme aurait de même la possibilité d'explorer les plans subtils et d'y rencontrerles Esprits supérieurs, Maîtres de sagesse, sur le plan astral.
Quand le médium entrerait en contact avec le corps éthérique d'un Esprit il serait capable d'en rendre perceptible la matière subtile en la matérialisant sous forme d' « ectoplasmes » auxquels il transférerait sa propre énergie vitale : à noter que la fraude en ce domaine a été sans cesse démasquée, sans convaincre pour autant les adeptes. L'action du périsprit sur la matière - l'aura du médium, son fluide vital - se manifesterait plus couramment par la table tournante (Tertullien au IIe siècle parlait déjà au Sénat romain de ce procédé de divination/communication), la planchette Oui/Jà (procédé décrit déjà en 540 av. J.-C.), le guéridon frappeur, le verre parlant ou l'écriture automatique ; voire par des « matérialisations » d'objets.

Les 5 principales techniques de spiritisme sont:.
- Le oui-Ja
- La table tournante
- L'écriture automatique
- Le verre à pied
.Il vous faut une table ronde de préférence, des morceaux de papier avec les lettres de l'alphabet, les chiffres de 0 à 9, les mots « Oui », « Non » et « Fin ». Placez ces papiers tout autour de la table et au centre, placez un verre à pied. On dit parfois que le verre doit être en cristal, à vous de voir. Il faut de préférence, qu'il soit à pied et transparent.

Tout d'abord, comme pour les trois autres techniques, il faut se recueillir et se concentrer. Après quelques minutes, retournez le verre vers la table. Placez vos index droits sur le pied du verre, bras tendus (attention, rien ne doit toucher la table : ni coudes, ni vêtements). Déclarez haut et fort "Esprit, es-tu là ?"...

Le verre va alors s'animer, sinon, il faut se concentrer encore un peu. Le dialogue peut alors s'engager.

quelle est ta plus grande peur
Il existe

différent types

de fantomes..









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Le frappeur

Le frappeur est un défunt malfaisant qui se manifeste la nuit en venant frapper à votre porte. Lorsque vous ouvrez, il vous inflige une blessure invisible et mortelle ou bien il vous rend fou. Certains affirment que cela n'arrive que si on lui parle. Cet individu semble en fait recruter de nouveaux morts pour la communauté de l'au-delà car les croyances du temps jadis nous enseignent que les défunts se regroupent et forment des bandes menées par le mort le plus ancien, par exemple le premier disparu lors d'une épidémie.


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L'appeleur

L'appeleur est un revenant qui quitte sa tombe, revient dans le village toutes les nuits et appelle un habitant par son nom. Le seul moyen de mettre fin à ses errances mortifères est de l'exhumer, de le décapiter avec une bêche et, si cela ne suffit pas, de brûler son corps puis de jeter ses cendres dans une eau courante.


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Le mâcheur

Très célèbre au XVIIe siècle, le mâcheur (manducator) est une sorte de mort affamé. De sa tombe sort un bruit de mastication qui entraîne de nouveaux décès dans sa famille ou dans son village, et même parfois parmi le bétail. Quand on ouvre cette tombe, on découvre qu'il a dévoré ses mains ou qu'il est en train d'avaler son linceul. Pour s'en débarrasser, soit on procède comme avec l'appeleur, soit on place une motte de terre dans sa bouche ; on peut aussi lui lier la mâchoire ou le replacer dans le tombeau face contre terre afin qu'il se procure une nourriture de substitution. Des protocoles officiels d'exhumation datant des XVIIe et XVIIIe siècles décrivent ces mesures avec précision et même la révolte du cadavre qui s'agite et crie.


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Le visiteur

Il s'agit d'un mort qui ne réussit pas à se faire à son nouvel état car il n'a pu rompre les liens qui l'attachaient à son ancienne vie. Il n'est pas dangereux et la cause de son retour semble être l'amour qu'il porte aux siens. A intervalles réguliers, pendant l'hiver, il revient chez lui, mange et boit, se chauffe auprès de l'âtre, peut même avoir des rapports sexuels avec sa femme, voire reprendre pour un temps la vie commune.


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Formes non humaines

Dans les croyances populaires, les revenants ne possèdent pas forcément une forme humaine. Ils peuvent se métamorphoser en animaux. Dès le XVe siècle, les bêtes évoquées sont, par ordre de fréquence, le cheval, le chien, la chèvre, le corbeau et le porc. Dans certaines traditions concernant la « chasse infernale » (un cortège de revenants qui passe sur Terre à certaines dates) comme la Mesnie Hellequin dans la France du Moyen Age, il est expressément dit que les chiens sont les âmes d'enfants morts sans baptême.

bloody marie


Bloody Mary serair une femme morte dans un accident, d'après certaine version.Pour l'invoquer il faudrait l'appeler 3 ou 13 fois ds une salle de bain devant un miroir. Elle s'attaque au personne ayant prononcés son nom devant le miroir de la salle de bain et qui ont une mort sur la conscience.

triangle des Bermude, surnommée aussi le triangle du diable, s'entend sur 3 900 000km2 entre les bermudes, Porto Rico et melbourne ( en Floride).

il est connut pour ces nombreuses disparitions inexpliquer d'avions et de bateaux.



cela a commencer au XIXe siècle, et depuis plus de cinquantes bateaux et vingts avions ont disparuent mysterieusement.

le cas le plus connu est celui du vol 19.Le 5 décembre 1945, cinq bombardiers américains quittèrent Fort Lauderdale pour une mission d'entraînement. Malgré d'excellentes conditions météorologiques, aucun ne regagna la base. L'hydravion parti à leur recherche disparut tout aussi mystérieusement. On raconte aussi que des bateaux furent retrouvés abandonnés, des aliments encore chauds sur la table, tandis que des avions s'évanouirent sans même émettre d'appel de détresse. Le caractère mystérieux du triangle est renforcé par l'absence d'épave.



Une multitude de raisons sont avancées pour expliquer ce phénomène, des rayons mortels émanant de l'Atlantide aux enlèvements perpétrés par des OVNI. Des analyses plus rationnelles mettent l'absence d'épave sur le compte des forts courants et de la profondeur élevée des fonds marins, et indiquent que plusieurs des disparitions qu'on lui attribue se sont produites jusqu'à quelque 600 km de cette zone.

legende urbaine

Un jeune couple qui venait de se marier quitte la fête, et roule à toute allure vers l'hôtel pour y passer leur première nuit ensemble. La fête battait son plein, et le jeune homme au volant est plutôt joyeux... Mais dans un virage, leur voiture s'écrasa au fond d'un fossé. Le jeune marié n'y survivra pas, et sa femme a été portée disparue. Depuis ce tragique accident, on dit que tard le soir, on peut apercevoir une dame vêtue de blanc aux abords d'un tournant, qui attend son mari.



Les dames blanches



Ce samedi soir de décembre 1979, Michel P. s'en souviendra longtemps. Comme tous ceux qui, sur les routes de France, de Belgique, d'Allemagne, de Suisses, ont eu de la chance - ou la malchance -, de prendre à bord de leur véhicule l'une de ces énigmatiques auto-stoppeuses fantômes.

Il est près de minuit. Michel, de tous les amis qui sortent ensemble ce soir-là, est l'un de ceux ayant un véhicule. Il est chargé de "faire le taxi" entre le centre de Limoges, où il habite, et une boîte de nuit située à quelques kilomètres, sur la route de Naixon. En Haute-Vienne, les hivers sont rudes. C'est dans le frimas et la nuit la plus profonde qu'il effectue son second voyage vers Limoges, quand tout à coup, il aperçoit dans ses phares, à quelques centaines de mètres de la discothèque, une forme blanche plantée dans un virage. C'est une femme de vêtue de blanc. Il s'arrête à sa hauteur, et lui demande où elle va. "A Limoges; si ça ne vous ennuie pas, je vais chez des amis" ; "Où à Limoges ?" demande Michel, "Laissez-moi en ville, je me débrouillerai... " précise la jeune fille. L'auto-stoppeuse s'installe à l'avant. Tout en roulant, Michel la détaille du coin de l'oeil et en silence : 20-25 ans, vêtue d'une robe blanche très années 60, très jolie... mais peu bavarde. A l'approche du pont de la Révolution, la passagère s'anime soudain : "Attention, ce tournant est dangereux !" Michel sourit, car ce virage qu'il négocie avec prudence, il le connaît bien. Tout à coup, un cri plaintif le tire de sa concentration : la passagère a disparu. Michel stoppe net sa voiture et, glacé par la peur et la surprise, fait quelques pas autour du véhicule : rien ni personne, sinon du brouillard. La belle inconnue s'est envolée.

A la gendarmerie de Limoges, où il ira faire une déposition, on lui explique qu'il n'est pas le premier à avoir vécu exactement la même aventure... Cette jeune femme fait régulièrement le même trajet en auto-stoppe, pour disparaître au virage du pont de la Révolution, l'endroit où elle trouva la mort en voiture, 20 ans plutôt. Comme tous ceux qui vécurent l'aventure, Michel peine à se remettre. Plusieurs années après, il n'aime toujours pas en parler. Pourtant, le temps qu'il a passé en compagnie de cet être venu d'ailleurs n'a pas excédé quelques minutes. Mais il est des apparitions plus longues!

Affaires locales

C'est la cas de la "dame blanche" du C.H.U. de Caen (Calvados). Stoppeuse nocturne, elle apparaît toujours aux abords du même abribus, sur la route de Luc-sur-Mer, juste après le centre hospitalier. Le dernier témoin à l'avoir prise en charge l'a décrite comme une jolie jeune femme d'une trentaine d'années, sobrement habillée de blanc et prétendant rentrer chez elle, à Luc. Pendant le trajet de 14 km le long de cette route, la D7, elle conserve toujours le silence. C'est à la traversée du village de Mathieu que la jeune femme se montre fébrile. Puis, à l'entrée de Luc-sur-Mer, la jeune fille s'affole carrément : "Faites attention, le virage est traître !" Tous les témoins déclarent avoir tenté de la calmer. Là encore, au moment où le chauffeur, après avoir négocié son virage, se tourne vers la passagère, il découvre immanquablement un siège vide. Cette affaire, qui se renouvelle régulièrement selon le même scénario, est localement très connue. Et il se trouve qu'une jeune femme fut, en 1970, victime d'un accident de voiture mortel dans ce virage alors qu'elle revenait de Caen.

L'auto-stoppeuse fantôme du carrefour de Balleroy (Calvados) apparaît depuis 1960, année où une jeune fille se tua dans une collision à hauteur de ce très dangereux croisement dit "de l'Embranchement", situé à quelques centaines de mètres du village, au milieu de la forêt de Cerisy. Ce jour-là, on la ramenait en voiture du village. Elle habitait un petit hameau niché dans les bois. Sa vie fut coupée nette, au carrefour par un chauffard qui n'avait pas respecté la signalisation. Depuis, on a eu beau refaire plusieurs fois le carrefour, son âme y semble comme chevillée dans un éternel et triste appel au secours. A Balleroy, plusieurs personnes du village l'ont déjà prise en charge. Elle se manifeste toujours par les nuits pluvieuses, à la sortie du village, levant le pouce en direction du carrefour. Elle est immuablement vêtue de blanc et demande à être déposée à un hameau voisin du carrefour, "là où habite sa mère". Elle parait avoir un peu moins de 20 ans. Invariablement, elle montre des signes d'angoisse et de panique évidents pendant la traversée du carrefour. Mais, l'embranchement passé, elle n'est déjà plus dans la voiture. Sa dernière manifestation a été plus spectaculaire encore que les précédentes. Les deux habitants de Balleroy qui l'ont, cette nuit-là, éclairée de leurs phares l'ont vue non plus inactive, debout sur le bas côté, mais debout au beau milieu de la route. Il leur fallut piler net devant ce qui se révéla être encore la même jeune fille, dont la forme s'évanouit dès les portières ouvertes. A force de n'être pas entendue ou comprise, depuis près de 40 ans, cette dame blanche, dont l'appel confus semble venir d'un monde inconnu, paraît devenir plus véhémente qu'auparavant...

Froide comme du marbre

Parfois, des contacts physiques ont laissé une impression bien plus désagréable à ceux qui ont eu l'imprudence de tenter de toucher ces apparitions. Ainsi, une auto-stoppeuse fantôme se montre volontiers, de nuit, à la sortie de Château-Bernard (Isère). Voilà plus de trente ans que cette jeune femme se manifeste ainsi, ayant pour caractéristique constante de disparaître lentement sous la forme d'un léger brouillard, et non en une fraction de secondes, comme les autres. En 1960, elle fut prise en stop et disparut à un point précis de la route, toujours après avoir prévenu le conducteur d'un danger. Ce qui poussa celui-ci à se rendre à la gendarmerie, c'est qu'il avait été un peu entreprenant avec la jeune femme, lui passant une main sur les jambes et, enhardi par l'absence de réaction, sur la poitrine. Il avait alors remarqué que sa passagère dégageait un froid semblable à celui du marbre. Confus, il avait attribué à ses avances la disparition soudaine de la voyageuse et venait demander si on l'avait trouvée sur la chaussée. C'est là un cas unique de contact physique avec l'un de ces êtres fantomatiques, mais dont les atomes et les molécules semblent être aussi bien liés entre eux que ceux d'un vivant.

Parfois, l'être évanescent laisse derrière lui un objet, ou emporte quelque chose pris dans la voiture. Ce fut le cas à Chapareillan (Isère). Là, sur la N90, apparaît assez souvent une jeune "dame blanche". Ce soir de 1977, par une pluie violente, c'est un médecin grenoblois qui la prit en charge. Taciturne et très peu loquace jusqu'à un passage délicat de la route, dit Pont-au-Furet, la passagère marqua alors une grande frayeur qui s"estompa avec l'éloignement de l'obstacle. Elle se fit déposer un peu plus loin, devant une maison qu'elle dit être celle de ces parents. Comme il pleuvait toujours des cordes, le médecin lui prêta son parapluie et attendit qu'elle le lui ramène. Il suivit la fille des yeux, la vit franchir la porte d'entrée et la referma derrière elle. Une bonne dizaine de minutes passant, le médecin se décida à aller frapper à la porte de la maison, pensant qu'on l'avait oublié. Un couple de quinquagénaires lui ouvrit, étonnés d'êtres dérangés à une heure si tardive. On imagine aisément la discussion qui s'ensuivit : la jeune fille décrite avait bien habité là, mais il y a des années qu'elle était enterrée ! C'était leur fille unique, morte dans un accident de moto... au Pont-du-Furet.